Je suis loin d’être un fan de foot à la télé (même si les commentaires de Thierry et Jean-Michel) fournissent à l’occasion un papier sonore propice à l’écriture.
Le 29 mai 1985 à part un match de foot au Heysel, il n’y avait rien à se mettre sous la pupille dans les pages du jour du Télémoustique. C’était avant la multiplication des chaînes.
Je commence à regarder et… comme des millions de téléspectateurs, je suis hypnotisé par les images du désastre qui se déroule à quelques dizaines de minute en voiture de l’endroit où je me trouve.
Aujourd’hui je resterais scotché une bonne partie de la nuit. A l’époque, j’étais collégien. Ma mère était la gardienne du compte de mes heures de sommeil. Approche des examens oblige et – morts à la télé ou pas morts à la télé – j’ai été dormir sagement vers 22 heures.
Et vous ?