Grand Darjeeling Hotel : saison 1, épisode 7 : "Champagne, champagne, champagne !"

Grand Darjeeling Hotel

L’épisode 7 de ce feuilleton littéraire et en temps réel est en ligne. Comme toujours, pour le recevoir, il suffit de d’entrer son adresse mail.

Un solution d’abonnement pour rejoindre les happy few qui sont avertis de la disponibilité d’un nouvel épisode alors que le PDF est encore chaud et sent encore le pixel frais est en cours de débug…

Rendez-vous dans 10 jours pour l’épisode huit.

Pendant ce temps, le script frenzy et la vie continuent… haut les coeurs !

36 secondes de bonheur

Sans un SMS anonyme, je n’aurais jamais su à quel point le G8 était hautement bloggable. Voici donc quelques images d’une conférence de presse qui rejoint celle de feu VdB dans la légende.

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On parie quoi qu’il n’y aura pas de visite officielle en Russie avant un certain temps ?

Ca me rappelle qu’en février je m’étais engagé à faire un certain video-post « pimenté ». Ca vient, ça vient…

Comme toujours, si les commandos spéciaux de la présidence venaient me faire disparaître, soyez gentils d’enfoncer la porte de mon appartement. Il y aura un chat affamé dedans.

Edit :

De la plume d’un journaliste suisse qui y était :

Je vous parle en connaissance de cause. J’étais au troisième rang, juste devant la caméra dont les images du président français circulent aujourd’hui abondamment sur Internet. (…)Le reste s’est passé comme ça: Sarko est arrivé en retard, pressé. Eméché? Cela ne m’est pas venu à l’esprit. Il ne titubait pas. Il semblait plutôt étonné d’être propulsé là, au milieu des journalistes, tous leur carnet de notes en main. Je l’ai senti plutôt angoissé par un grand vide. Pris de vertige. Un peu comme un trapéziste qui voit soudain le sol défiler sous lui. Il n’était pas serein (mais lui arrive-t-il de l’être?). (…) Je l’ai, pour tout dire, vraiment trouvé à côté de la plaque. Pas alcoolisé. Plutôt survitaminé. Comme dopé. Quelque chose sonnait faux dans ses mots. Il n’était pas ce soir là le chef de l’Etat français. Il était «Sarko»: cet énergique politicien qui vous veut du bien, vous sourit mécaniquement, est bourré de tics et ramène tout à lui: la victoire arrachée à Bush sur le climat, l’arrêt des souffrances au Darfour…