S’amuser à la KBR : mode d’emploi

La KBR (alias l’Albertine, alias la bibliothèque royale, alias le deuxième endroit où j’ai surfé de ma vie, quelque part en 95/96, après la bibliothèque de l’ULB) pourrait passer de prime abord pour un endroit réservé au travail sérieux, silencieux voire universitaire. Sans même devoir chercher, on y trouve une connectivité wi-fi omniprésente.

KBR

Comme Mystérieux Projet Editorial m’y amenait et que rester un quart d’heure sans rien foutre me tape sur les nerfs d’une part et que d’autre part les macbooks pullulaient cette après-midi là, je regarde à qui je peux dire Bonjour autour de moi.

KBR

Il y a un nom francophone dans la liste et en plus il n’a pas l’air de dissimuler foison d’homonymes (ça n’est pas “Jacques Martin” donc…). Je le google, je tombe sur une adresse mail à laquelle j’envoie un mail intitulé « ceci est une bouteille à la mer ».

La donzelle, chercheuse à l’ULB d’après mon googlage reçoit mon mail (et vient visiter ce blog, j’ai des preuves…).

KBR

Mais me répondit-elle ? Non, non, non.