Je comprends ce que les gens disent. C’est pénible, je n’en ai pas l’habitude. Je déteste ça. Les gens parlent, j’entends sans avoir besoin d’écouter et je comprends. C’est infernal. J’ai l’impression de me mêler de ce qui ne me regarde pas. D’ailleurs ça ne m’intéresse pas, je ne veux pas savoir.
Je ne veux pas cet accès « presse » à la Chambre. Ca sera beaucoup plus drôle en mode « On n’a pas de carte de presse mais on a des idées ». Je déteste céder à certaines pressions mais quand « l’avenue Georgin » réplique par un doublé à la livraison de lundi du service public, je ne peux que m’incliner.
(cette photo a fait l’objet d’une tentative d’effet Lomo)
Quand une bloggeuse se lance dans une campagne de lobbying en faveur d’une certaine vidéo, quand Yves L. fait le tour des rédactions (son attachée de presse a sans doute égaré le numéro d’orange-bleue.info), quand Yves L. modernise sa façon de parler, quand il met du coeur et de l’âme, quand il est modern et talking, quand il dit à ses partenaires de négociation « you’re my heart, you’re my soul », je ne peux que m’incliner…
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Et enfin, histoire d’avoir bonne conscience :